Un partenariat ça se prépare comme une coupe du monde de rugby. Beats By Dre, la marque de casque audio américaine, fondée par de vrais musiciens, producteurs et ingénieurs du son, lance une très belle campagne autour de la coupe du monde de rugby 2015.
Avec un ambassadeur de talent pour 3 pays phares dans le monde du rugby que sont l'Angleterre (pays hôte), la Nouvelle-Zélande (tenant du titre) et bien entendu, la France, éternel espoir ! C'est Wesley Fofana qui a été choisi pour incarner les valeurs de la marque et du rugby à la française, dans un film très symbolique de ce que notre pays représente pour les autres nations, et notamment notre côté imprévisible. J'aime bien cette idée qu'une équipe soit imprévisible pour ses adversaires, qu'elle soit redoutée pour son sens de l'initiative, sa folie dans le jeu et son respect des codes du sport.
Comme le rappelait Sébastien Chabal lors de la conférence de presse en répondant aux questions de Omar Johnson, le CMO, "le rugby est d'abord un sport de combat et il faut se préparer pour ça".
Chez nous, les caprices de l’opinion et la critique des médias s’abattent vite sur l’équipe et son entraîneur. À la fin du film Fofana lance, provoquant : « Nous allons vaincre ensemble, nous sommes capables de vaincre n’importe qui ».
Au-delà du rugby, Beats by Dre, est une marque fondée par des passionnés, des gens fortement engagés sur leur mission : faire partager la musique, les émotions dans de parfaites conditions. La marque est définie par son CMO, comme la conjonction de trois valeurs / dimensions fondamentales : le son, le storytelling et émotion.
C'est exactement ce qu'on ressent en regardant les films. Merci !
Tagawine est une Appli conviviale qui permet de partager les bons que nous aimons ! Déjà plus de 150 000 amateurs de vin l'utilisent, pour donner leur avis, consulter les notes et les prix des vins simplement à partir de l'étiquette et enrichir leurs connaissances. Un vrai succès qui permet à Tagawine de se lancer dans un partenariat plus ambitieux et destiné à être propulser sur les écrans de cinéma !
En effet, la sortie de Premiers Crus, de Jérôme Lemaire, avec Gérard Lanvin, Jalil Lespert et Alice Taglioni, prévue le 23 septembre, qui raconte les difficultés d'un vigneron bourguignon et de son fils revenu au pays pour sauver l'entreprise paternelle, est une excellente opportunité de mêler le marketing à l'ère digitale et un métier d'artisan, de terroir et de passion. In Real Life, Tagawine peut devenir le Trip Advisor des vrais vignerons et nous faire aimer le vin ensemble...
Alors pourquoi ce partenariat ?
voici les réponses (exclusives..) de Bruno Sounack, fondateur de Tagawine :
« J’ai eu le désir de créer Tagawine car je suis amateur de vin depuis de nombreuses années. Tout comme moi, la plupart de mes amis sont amateurs. Notre grand plaisir est de partager des bouteilles ensemble, si possible à l’aveugle et de nous surprendre avec de belles découvertes.
Je suis très attaché à la notion de terroir car elle montre tout le travail du vigneron. La Bourgogne est pour moi à ce titre le plus bel exemple de cette notion de terroir car à partir d’un même cépage, chaque vin est différent mettant en évidence l’importance de la terre et de l’agriculteur qui la travaille.
C’est ce qui m’a plut dans le film Premiers Crus. C’est un film, donc nécessairement caricatural, mais un homme quitte la superficialité de la vie en ville et redécouvre l’importance de la terre.
J’espère au travers de Tagawine, de notre appli et de notre blog, faire découvrir le vin au plus grand nombre de personnes, le plaisir du partage et de la découverte de cuvées peu connues. »
De belles valeurs que l'on souhaiterait voir affichées chez bien d'autres marques et qui vont certainement renforcer l'engagement des utilisateurs et motiver les vignerons à mieux utiliser les atouts du digital.
ASO est une énorme machine à événements, capable de gérer le Tour de France vélo que le monde entier regarde chaque année à la fois sur les routes et devant un écran, et celui qui fait la part belle à notre littoral, et qui réunit des sportifs de haut niveau sur des bateaux ultra-performants.
Depuis quelques années l'intérêt pour le Tour de France Voile semblait décliner. Mais cette année une nouvelle formule sportive, et l'arrivée de nouveaux partenaires l'ont totalement relancé. Une vraie belle réussite ! Un plateau de marins expérimentés et connus du public pour d'autres courses bien plus au large, que l'on pouvait approcher, côtoyer presque, à chacune des 9 étapes entre Dunkerque et Nice, du 3 au 26 juillet.
Coup de chapeau donc, à ceux qui se sont engagés dans cette aventure et qui auront ainsi pu rencontrer un public nombreux et enthousiasmé par le spectacle magnifique, à la fois sur l'eau et dans le village à terre. Oui il y avait un très beau village et de sympathiques animations proposées aux visiteurs, et même des concerts ou spectacles pour créer une ambiance de fiesta populaire. Exactement à l'image de ce que les marins portent comme valeurs humaines : aventure et partage de beaux moments.
Franck Cammas, Bernard Stamm, Erwan Tabarly, Vincent Riou, Jérémie Beyou ou encore Lionel Lemonchois sont des navigateurs au long cours, mais ils étaient entourés de spécialistes de du match racine (régates olympiques entre autres) et le suspense a duré jusqu'à la dernière manche de la finale à Nice. C'est finalement Spindrift barré par Yann Guichard qui remporte cette épreuve new look : bravo à eux !
Mais qui est donc Yanmar ? Que font des japonais sur le Tour de France à la voile ? On s'attend plus facilement à retrouver Groupama ou Prince de Bretagne, voire la FDJ parmi les partenaires, je vous l'accorde. Alors ?
"Le Groupe Yanmar a également très rapidement intégré des technologies responsables au niveau environnemental, pour une société plus respectueuse de l’humain, de l’environnement et de la planète. Yanmar met ses idées au service de la création d’une société plus responsable et plus heureuse."
"Yanmar a choisi cet évènement incontournable de la voile en France pour l’adéquation entre les messages véhiculés et les valeurs du groupe : Défi technique, exigence, passion, esprit d’équipe, autant de valeurs partagées."
Voilà comment une belle épreuve rencontre un succès majeur : donner plus de plaisir au public, permettre des rencontres ludiques et surprenantes entre tous les acteurs du spectacle, sur mer comme sur terre et récompenser les partenaires de leur soutien indispensable.
Avis aux frileux des partenariats : il y aura toujours des événements pour faire briller vos concurrents !
Un partenariat peut-il être la subtile traduction d'une expérience qui nous transporte ? C'est ce qu'on se demande en apprenant que Air France et Courrèges lancent ensemble un nouveau parfum très joliment nommé : la fille de l'air.
"La Fille de l'Air voyage vers le bonheur. Une fragrance aérienne à la ligne claire et épurée comme celle des robes Courrèges. Une essence de bergamote pétillante, zestée, pleine d’esprit, et un cœur sublime et rare, un absolu de fleur d’oranger solaire et addictif. Un parfum à la séduction subtile, qui marque instantanément de son empreinte inoubliable"
Forcément lorsqu'on m'interroge sur la pertinence d'un co-branding, certains exemples me viennent en tête rapidement et celui-ci y trouvera vite sa place. Oui on peut parfaitement trouver un partenaire idéal pour sa marque ou son produit et innover dans le même temps ! Courrèges est pour toujours l'esprit de la mode parisienne, française et féminine, aussi essentiel qu'avant-gardiste. La marque incarne la pureté des lignes et des matières, associée à des choix colorés forts et intriguant. Alors la magie de cette marque unique sera-t-elle dans le flacon, dans l'essence et pourra-t-elle nous remémorer les voyages les plus romantiques de notre existence, ou encore nous projeter vers d'autres horizons inconnus à la recherche du bonheur ?
C'est le pari des deux marques réunies dans ce partenariat. Les voyageurs d'Air France ayant l'exclusivité de la découverte du parfum jusqu'au 15 juin, à bord de certains vols. Le site e-commerce de Courrèges étant l'autre vecteur commercial de ce lancement, avant que les boutiques ne prennent le relai de la diffusion au grand public.
Créer cette émotion au cours d'un voyage aérien, c'est déjà donner du sens au produit, le proposer en exclusivité pendant les vols Air France, c'est affirmer une identité et des valeurs claires et se donner les moyens de séduire... les filles de l'air !
Voilà un partenariat qui va ravir les fans du légendaire gaucher américain, ancien numéro un mondial, au talent aussi immense que ses colères sur et en dehors du court. John McEnroe, devenu commentateur star pour les télévisions américaines est l'emblème d'un monde du tennis beaucoup moins lisse qu'il ne l'est aujourd'hui. Lorsqu'on entend le Djoker (Novak Djokovic) voler au secours des arbitres en réponse au pourtant si bien-pensant Nadal, on croit rêver ! John revient et pousse un bon coup de gueule ! Please...
Merci à We Are Tennis de redonner un peu d'engagement, de personnalité et d'envie de vivre des sensations fortes, à un sport qui fait davantage bailler les spectateurs à chapeau de paille qu'un opéra !
"Se faire plaisir c'est tout le temps et surtout n'importe quand !", annonce le mailing papier envoyé par l'enseigne au grand méchant look : NAF NAF Paris. On ne saurait être plus d'accord. Le visuel ? Un gros ballon en forme de donut bien girly qui flotte dans un ciel bleu... Emotionnel ?
La donuts party, c'est bien entendu une robe au décor donut qui donnera envie aux lectrices / clientes de se rendre en boutique pour en profitez (sans oublier leur bon de 10 euros personnel). Mais c'est aussi un beau partenariat avec Christelle Brua, élue chef pâtissier de l'année en 2008 et 2009 et récompensée par Gault et Millau en 2014.
Christelle explique sa recette de donut, dans un joli dépliant et aussi dans une vidéo postée sur Youtube. Elle dit qu'il est important d'affirmer sa féminité dans un univers gastronomique dominé par les hommes, et surtout "qu'il était facile de créer pour Naf Naf, une marque qui me parle et qui m'habille depuis que je suis petite, avec notamment le blouson bomber, les vestes fleuries et tout cet univers girly". Ce donut me ressemble un peu : il est coloré et fun..."
Un bon exemple de campagne multicanal, mêlant le digital via le site web et la chaîne youtube de la marque à un envoi en marketing direct sur la base clientes, avec pour objectif de créer du trafic en boutique.
Il y avait du monde à l'Insep pour le lancement officiel du Tremplin, incubateur de Paris & Co dédié au start-up du sport. Etait-ce le soleil du printemps qui motivait ce jour-là, les journalistes et les entrepreneurs passionnés, où l'envie de participer à un mouvement de plus en plus évident qui fait émerger le dynamisme et l'innovation ? En tout cas, les 17 start-ups sélectionnées sur plus d'une centaine de dossiers présentés au comité, ont eu un immense plaisir à monter sur scène pour un elevator-pitch sans pression. Et la salle les a déjà récompensés d'un hommage mérité. Le business viendra plus tard, fêtons d''abord l'initiative !
Autour des représentants de la mairie de Paris, qui se multiplie en direction de l'entrepreneuriat, étaient présents les communicants des sponsors, parmi lesquels l'UCPA, Nike, Sporsora et donc la FDJ.Pourquoi cette présence, demandais-je à Rodolphe Gonzales, responsable communication et sponsoring sport de la Française des Jeux.
La réponse de Rodolphe : "L'agilité dont font preuve ces jeunes pousses sont naturellement une source d'inspiration pour notre entreprise. Nous sommes très impliqués dans le monde du sport, et certains projets nous ont beaucoup plu par leur vision prospective de ce que le sport peut générer comme valeur. La technologie, le digital sont des moteurs d'innovation mais le sens de l'humain et le respect des valeurs sociales du sport, sont également très important pour nous... Ce qui est motivant c'est aussi d'avoir été impliqué dans le process de sélection des start-up qui intègrent l'incubateur, le tremplin. D'ailleurs, les 7 projets que nous avions initialement détectés sont dans la sélection finale, ce qui montre notre pertinence dans ce domaine."
Quel rôle pour le partenaire, au-delà de ce lancement ?
"Nous allons suivre les projets, aider les entrepreneurs en leur proposant notre expérience, nos experts. N'oublions pas qu'au travers de la Fondation FDJ, nous soutenons de nombreux sportifs de haut niveau. Au-delà du cyclisme, nous nous engageons d'ailleurs cette année sur le Tour de France à la voile, avec un équipage handisport. Nous serons aussi partenaires de l'Euro 2016. Nous pouvons donc partager nos expériences avec les start-up ou les aider à lancer leurs activités. Nous essaierons d'être un bon coach !"
Certaines start-up sont déjà expérimentées, comme le souligne Benjamin Carlier, directeur du Tremplin dans une interview donnée au quotidien le Parisien, le 8 avril :"Cette promotion compte quatre ou cinq start-up locomotives qui ont levé pas mal de fonds et qui génèrent déjà de l'argent, comme E-cotiz, ou Seaters, par exemple.
La musique et le sport sont de plus en plus étroitement associés. De là à choisir un artiste "électro" et tendance pour la formule endurance des courses automobiles, est-ce aussi évident ?
Révélation de la scène Electro/DeepHouse française, l’artiste The Avener, originaire de Nice, et numéro 1 des ventes sur iTunes dans 19 pays l'année dernière, a animé le prologue pour l'ouverture du Championnat le 28 mars prochain au Castellet. Un véritable partenaire tout au long de l'événement puisqu'il donnera un total de 7 représentations sur l'ensemble des 8 épreuves.
« Je me réjouis de ce nouveau partenariat stratégique et inédit entre le WEC et Universal Music&Brands, qui illustre l'intérêt croissant du rapprochement entre le sport et la musique », déclare Jean Luc Bres, directeur général d'Universal Music&Brands.
Entre les ronflements impressionnants et la musique dance produite par le français The Avener, les spectateurs feront avec plaisir le grand écart. L'audace et la performance seront réunis sur scène et sur les circuits.
C'est ce genre d'initiative qui fait un jour la différence entre les entreprises, entre les marques. Un jour, pas tout de suite ! Alors si ça ne rapporte pas immédiatement, si ça ne permet pas à la directrice de communication de faire une jolie photo souvenir et de la montrer fièrement au Comex, bon nombre de ces partenariats purement image ne voient pas le jour... Dommage non !
En attendant, le pari pris par UBER est de créer 1 million d'emplois à destination des femmes d'ici 2020. Je connais des politiciens qui rêveraient d'en dire (et surtout d'en faire) autant...
"Cette mission cruciale sera achevée lorsque égalité professionnelle entre hommes et femmes et sûreté au travail seront totalement accomplies. Nous sommes fiers de soutenir cette initiative en faveur de l’émancipation des femmes partout dans le monde."
Un jour les partenariats seront mis en place pour la valeur qu'il créent à long terme... Bravo et merci à Phumzile Mlambo-Ngcuka, directrice exécutive de l'ONU Femmes et à Travis Kalanick, fondateur d'Uber.
Dans le monde du sport comme dans celui de la musique, on a face à soi des artistes, des talents. Les sportifs sont-ils de bons communicants ? Evitons de fonder notre jugement sur les interviews d'après-match, tant le sport ne se limite pas à des commentaires de résultat.
Rappelons que le sportif a des valeurs que la société lui envie. Ce n'est pas par hasard si les marques cherchent à associer leur image à celle de ces héros modernes qui font toujours rêver petits et grands (on rappellera que le classement des Brand Content les plus vus sur Youtube en 2014 met très loin devant, les films Nike avec Neymar et ses amis). C'est pourquoi Universal a eu l'idée de développer un département pour gérer les talents et créer des partenariats entre les marques et les sportifs.
J'ai eu le plaisir de rencontrer les deux dirigeants de l'entité U-Think, passionnés autant par le sport que par la communication et le marketing : Thibault Khulmann et Nouredine Elhaoussine.
Pourquoi une cellule spéciale dédiée aux sportifs chez Universal ?
Thibault et Nouredine : "Nous avons déjà une grand expérience en interne des opérations de partenariat Music & Brands, chez Universal et nous rencontrons naturellement beaucoup de sportifs dans le monde de la musique. Les sportifs "utilisent" la musique pour leur concentration et ils assistent aussi à de nombreux concerts, sont amis de musiciens, bref, il est clair qu'il y a un lien naturel entre ces deux milieux. Il nous a semblé intéressant de proposer notre expertise du partenariat à des sportifs qui veulent aller au-delà du basique sponsoring."
Comment dépasser ce niveau de base ? Et pourquoi le sportif ne doit pas se contenter de porter des logos de marque ?
T et N : "C'est une question d'éthique ! Le sport est trop vu comme sport business, perdant ainsi ses valeurs. Les sportifs ressentent cela aussi et veulent (pour certains) conserver leur authenticité. C'est donc notre mission de les aider, en leur proposant un diagnostique, à travailler sur leurs valeurs personnelles et à ne pas les travestir. L'ambition d'un partenariat, c'est de faire adhérer le public à une campagne, à une image relativement pure du sportif. Renaud Lavillenie ou Blaise Matuidi, par exemple, sont des garçons qui souhaitent ne pas faire n'importe quoi !"
Comment les inscrire dans la communication des marques ?
T et N : "C'est une question d'histoire à raconter. Le storytelling de qualité permet de respecter l'humain et même de le découvrir pour ce qu'il est, et non dans le contexte du sport hyper médiatisé. Le travail réalisé avec Neymar est un excellent exemple. Mettre en scène sa relation avec son père, n'a pas été simple à faire accepter, mais c'est de l'aveu même du brésilien, ce qui l'a touché dans cette campagne. Et ça se voit ! On comprend alors que l'adhésion du public a été très forte, au-delà de tous les attendus dans ce domaine. Les émotions que partagent le père et son fils, avant le match, sont celles de tous les sportifs du monde !"
Mais comment découvrir leur personnalité, comment choisir un sportif comme ambassadeur ?
T et N :"On doit dépasser les clichés dans notre approche. On veut aller plus loin avec nos sportifs. Il faut aller au-delà de la performance sportive et trouver les aspérités, les traits de personnalité qui vont générer une histoire. Il faut les aimer pour les comprendre. Notre mission est aussi de les rendre plus humain, plus généreux et sans en faire des modèles, de montrer qu'ils sont source d'inspiration. Si l'on prend l'exemple de Tyson, au-delà de l'image de la brute barbare du boxeur foudroyant ses adversaires, de son agressivité hors normes, il y a un homme qui a des passions pour la lecture, la philosophie, l'histoire de France ou encore Call Of. Le voir rendre son oreille à Evander Hollyfield dans une publicité Foot Locker est très fort en termes d'émotions et d'adhésion aux valeurs de la marque."
Merci Thibault et merci Nouredine ! On ne peut que souhaiter de belles rencontres et de belles histoires à raconter avec nos sportifs et pour le meilleur des marques...