C'est en tout cas ce que laisse entendre, Raphaël de Andreis, président de BETC Eurorscg, cité dans un excellent article de Valérie Leboucq dans l'édition de ce lundi des Echos. On peut en discuter même si les réseaux sociaux sont naturellement à l'affut des nouveautés et sont largement employés pour dévoiler certains partenariats de production.
Ainsi par exemple l'année dernière, la Fiat 500 Dolce Vita signée par Gucci ou tout aussi élitiste, la ligne de petit électroménager de Russel Hobbs brandée aux couleurs de la Mini Austin, ou encore la robe Petit Bateau designée par Didier Ludot... lire la suite de l'article ici
S'il est en effet question de perturbation "positive de l'image des marques", engendrée par le co-branding, ce que d'autres pourraient qualifier de création de valeur, je voudrais ajouter qu'il est également question de segmenter l'offre, voire de la positionner plus "haut" (et c'est un sujet majeur pour qui souhaite élargir sa clientèle).
Le co-branding est l'aboutissement marketing du partenariat : la co-création entre marques de produits ou de services inédits et le plus souvent dans de plus "petites séries". Il entraine alors un partage de revenus, comme c'est le cas de services proposés en marque blanche. Les partenariats de communication peuvent déboucher sur de telles collaboration.
D'où la nécessité d'équilibrer les intérêts dans un partenariat aussi simple soit-il..
voir aussi l'article de Vogue -
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